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Destination Santé
10 décembre 2021, par
Ces dernières années la prise en charge de la leucémie lymphoïde chronique (LLC) a considérablement évolué. Conséquences, les patients vivent de plus en plus longtemps avec la maladie et leurs parcours de soins nécessitent de nouvelles organisations.
La leucémie lymphoïde chronique, autrement appelée LLC, est ce que les spécialistes appellent une hémopathie maligne [1]. Elle se caractérise par une accumulation excessive de globules blancs appelés lymphocytes B, devenus anormaux dans la moelle osseuse, le sang, les ganglions lymphatiques et la rate. Cette forme de leucémie est la plus fréquente chez l’adulte, avec 4 674 cas diagnostiqués en 2018 en France, dont une majorité d’hommes [2].
Au cours des 20 dernières années, de nombreux progrès ont été réalisés tant au niveau du diagnostic de la maladie que de sa prise en charge. Notamment grâce à une meilleure compréhension des mécanismes moléculaires de la LLC. Ainsi de nouvelles thérapies ciblées ont pu être mises au point permettant de détruire les cellules tumorales présentant une signature moléculaire spécifique. Ces nouveaux traitements plus efficaces et mieux tolérés permettent aux patients de vivre plus longtemps avec leur maladie et exigent donc une adaptation des parcours de soins. A ce titre, sensible aux initiatives permettant d’améliorer le suivi des patients, AstraZeneca a souhaité apporter son soutien à deux projets initiés par des établissements de santé.
Renforcer la coordination des équipes médicales autour du patient
Le premier a été mis en place au centre hospitalier de Libourne. « L’objectif est de sécuriser et d’optimiser le parcours de soins des patients qui retournent à domicile avec une thérapie orale », explique le Dr Clément Bedoucha, pharmacien au Centre hospitalier de Libourne. « A l’initiation du traitement, le patient va rencontrer le médecin référent chargé de lui présenter le plan personnalisé de soins, puis le pharmacien hospitalier qui l’informera sur le traitement, et enfin l’infirmière. Cette dernière lui proposera un accompagnement en fonction de ses connaissances de la maladie et de son traitement. »
« Ce fut primordial de disposer d’une équipe opérationnelle et efficace assez rapidement car l’oncologie est un domaine spécifique et complexe », poursuit le Dr Bedoucha. « Une fois à domicile, le patient sera appelé à J8 et à J30 par une infirmière pour savoir comment il se sent, s’il prend correctement son traitement et s’il a observé des effets secondaires. » Selon Dr Bedoucha, « l’objectif a été atteint au niveau de l’initiation aux traitements. Nous aimerions désormais développer davantage le suivi et l’accompagnement du patient une fois à domicile, en travaillant notamment le lien ville/hôpital. »
Améliorer l’expérience des patients traités par thérapie ciblée orale
Au centre Léon Bérard de Lyon, un programme d’Assistance médicale ambulatoire thérapie orale a vu le jour en 2016. « Il vise à améliorer la performance du parcours de soins des patients traités par thérapie ciblée en ambulatoire dans la LLC », précise le Dr Anne-Sophie Michallet, hématologue au Centre Léon Bérard à Lyon. « Il a été initié à la suite du développement des thérapies orales qui ne nécessitent pas toujours de se rendre à l’hôpital et où finalement une grande partie de la gestion reste ambulatoire. Le programme repose sur des infirmières expertes qui appellent les patients à domicile (appels sortants) afin d’appréhender les effets indésirables des traitements et d’anticiper leur éventuelle toxicité pour finalement, améliorer l’observance. » D’autre part, ces appels permettent également « d’évaluer la santé psychologique des patients ».
Autre action menée, la coordination entre l’ensemble des professionnels. « Il s’agit du médecin référent, du médecin généraliste, de l’infirmière de coordination, du pharmacien de ville et hospitalier. Nous avons d’excellents retours des patients et nous avons observé également une amélioration de l’observance des traitements. »
Agence Destination santé
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