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Destination Santé
14 novembre 2017, par
Un marathon dans sa ville, c’est d’abord une grande fête qui rassemble des milliers de personnes.
Des médecins américains se sont toutefois penchés sur le revers de la médaille : celui des routes coupées et des conséquences au niveau de la circulation des véhicules d’urgence. Avec un impact non-négligeable sur les taux de survie des victimes d’infarctus !
L’étude du Dr Jena Anupam et son équipe du Massachusetts General Hospital de Boston [1] (Etats-Unis) est partie d’une question toute simple : une victime d’un infarctus du myocarde bénéficie-t-elle des mêmes chances de survie si son accident survient le jour d’un marathon dans sa ville par rapport à un autre ? Réponse ? Non !
Onze villes hôtes d’un marathon, une durée d’étude étalée sur 11 ans entre 2002 et 2012, des comparaisons avec les autres jours de l’année et une conclusion qui fait froid dans le dos : le jour d’un marathon, le délai d’intervention auprès d’une victime est allongé en moyenne de 4,5 minutes.
Les auteurs ont également observé que le taux de mortalité à 30 jours était, ce jour-là de 28,2 %. Contre 24,9 % le reste de l’année… « Nous avons surtout constaté que ce risque augmentait lorsque le trajet d’intervention avait été vraiment long », conclut le Dr Anupam. « Mais aussi parmi les patients qui avaient dû se rendre aux urgences par leurs propres moyens. Et ces différences ne se sont pas retrouvées le soir des épreuves lorsque toutes les routes sont à nouveau ouvertes ».
© 2017, Agence Destination Santé
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