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Destination Santé
16 novembre 2017, par
Maladie chronique de la peau caractérisée par la survenue de plaques, le psoriasis pèse lourdement sur la qualité de vie des patients. Lesquels parfois s’isolent au point de refuser toute prise en charge ou de changer régulièrement de traitement. C’est ce que les spécialistes appellent l’errance thérapeutique.
Rappelons que le psoriasis est une maladie inflammatoire chronique de la peau qui touche environ 2 millions de personnes en France. Il se caractérise par l’apparition de plaques rouges sur le corps, mais aussi de squames. Lesquels sont particulièrement présents au niveau des zones de frottement comme les coudes, les genoux ou encore le cuir chevelu. Ils sont en réalité provoqués par un renouvellement accéléré de la couche de l’épiderme, la plus superficielle de la peau.
Le Dr Philippe Beaulieu [1] est dermatologue à Pontoise dans le Val d’Oise. De nombreux patients souffrant de psoriasis fréquentent son cabinet. Il sait à quel point le psoriasis peut exposer les malades à une forme de détresse. Notamment parmi celles et ceux présentant une forme modérée à sévère de la maladie. « Certains pensant avoir tout essayé au niveau des traitements, décident ne plus se traiter. D’autres se sentant désabusés, passent de médecin en médecin à la recherche de la solution miracle. Ils estiment que les traitements prescrits ne sont pas assez efficaces ».
Ainsi selon une enquête européenne [2], 47 % des patients n’ont pas consulté de médecin au cours des 12 derniers mois. Et plus de 85 % éprouvent le besoin de disposer de meilleurs traitements. Conséquence : près de 50 % ont décidé d’interrompre la prise des médicaments prescrits [3].
« Parmi les maladies dermatologiques, le psoriasis est une maladie difficile à gérer pour les patients. Ils essaient de trouver le médicament le plus efficace, avec le moins d’effets secondaires. C’est pourquoi certains changent régulièrement de solutions thérapeutiques », explique le Dr Beaulieu. « Par méconnaissance mais également par peur des nouveaux traitements, les patients décident parfois de se soigner seuls. Certains même ne se traitent pas du tout ».
Comme dans toute maladie chronique, l’éducation thérapeutique permet de lutter contre cette errance thérapeutique. Mais pas seulement pour le Dr Beaulieu. « Oui l’éducation a toute sa place pour améliorer la prise en charge du psoriasis. Mais elle ne suffit pas. Il est nécessaire que médecin et patient établissent un véritable contrat de soins. Et ce d’autant plus que nous disposons de suffisamment de traitements pour proposer la stratégie la plus adaptée en fonction de chaque malade ».
© 2017 Agence Destination Santé
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