
La Plateforme réunionnaise transmet au chef de l’Etat un nouveau manifeste
23 avrilAu cours d’un entretien dans la soirée du 22 avrils entre le Président de la République, Emmanuel Macron et la maire de Saint-Denis, Éricka (…)
Afrique de l’Est et Australe
9 octobre 2024
D’après le dernier rapport sur la sécurité alimentaire de la Banque mondiale publié ce 26 septembre, 80 millions de personnes seront en situation d’insécurité alimentaire en février 2025. Rien qu’en Afrique Australe, ce sont 30 millions de personnes qui risquent de souffrir de la faim en mars prochain. La crise climatique est une explication, avec une forte sécheresse et une chute des récoltes.
L’insécurité alimentaire en Afrique de l’Est et Australe touche particulièrement certains pays, aggravée par la sécheresse et les conflits. D’ici février 2025, environ 80 millions de personnes dans cette région seront en situation d’insécurité alimentaire. En Afrique australe, 30 millions de personnes seront touchées d’ici mars 2025 à la suite de la sécheresse provoquée par El Niño, qui a entraîné de mauvaises récoltes. Les récoltes de maïs ont été gravement affectées, avec un déficit de 10 % en Afrique du Sud et de 60 % au Zimbabwe par rapport à la moyenne sur cinq ans. Les ménages pauvres ont épuisé leurs réserves alimentaires et doivent adopter des stratégies de survie non durables.
Les zones les plus préoccupantes incluent l’Angola, le Malawi, le Zimbabwe et les régions en conflit en République Démocratique du Congo, au Mozambique et en Somalie. Les foyers de crises humanitaires concernent particulièrement le Soudan, l’Éthiopie, le Soudan du Sud et la Somalie.
Au Soudan, des famines ont été confirmées dans trois camps de déplacés internes à Al Fasher, au Darfour Nord, où environ 600 000 personnes vivent dans des conditions extrêmes. Depuis avril, le siège de la ville par les forces de soutien rapide a aggravé la crise, détruisant les infrastructures, interrompant les flux commerciaux et l’accès humanitaire, provoquant des pénuries alimentaires sévères et une hausse des prix.
Au Soudan du Sud, les prix élevés des denrées de base, la baisse des opportunités économiques et les conflits exacerbent la situation. Des populations dans des zones comme Pibor, Duk, Rubkona et Aweil Est subissent des conditions de catastrophe alimentaire.
En Éthiopie, la population peine à accéder à la nourriture en raison de la hausse des prix et de faibles revenus. Bien que l’aide alimentaire atténue partiellement les déficits, des conditions d’urgence persistent, surtout dans le nord. La production agricole est globalement normale à l’ouest et au nord, mais inférieure à la moyenne dans l’est.
En Somalie, la situation est critique avec des pertes massives de récoltes céréalières et de cultures commerciales dues à la sécheresse, aux inondations, aux déplacements et aux infestations de ravageurs, notamment dans la région agropastorale de Bay/Bakool et les zones riveraines touchées par les inondations.
Au cours d’un entretien dans la soirée du 22 avrils entre le Président de la République, Emmanuel Macron et la maire de Saint-Denis, Éricka (…)
Le Haut Conseil de la famille, de l’enfance et de l’âge est revenu dans une note sur la période inflationniste 2021-2025 et ses effets sur le (…)
Promié tan, la kaz bann Biganbé navé dé piès minm parèy sad bann Maksimin, soman té kouvèr an tol. Malérèzman, siklone 48 la ni, la lèv lo ti (…)
En visite à La Réunion, le président de la République a échangé avec le monde agricole, durement affecté par le cyclone Garance qui a suivi un (…)
Mézami l’ariv amwin dann mon éskolarité kotoiye bann marmaye néna bone tète. Mi rapèl inn téi konpran toute pli vite lé z’ote, téi rotien toute (…)
Selon le ministre de la Santé, Yannick Neuder, "autour de 120.000" personnes pourraient avoir été contaminées par le chikungunya, maladie (…)
« Ça fait plus de quinze ans que la fonction publique est au pain sec et à l’eau » a estimé le président de la fédération services publics de la (…)
Mézami dopi somenn passé i anparl bonpé bann péshèr artizanal pars lo ministress responsab de sa lété d’passaz shé nou é bien antandi téi i pé pa (…)
« Depuis le début de l’année, six décès [...]chez des personnes de plus 70 ans porteuses de comorbidités ont été classés comme liés au chikungunya (…)
Kossa i lé sa d’apré zot ? Oussa i trouv in n’afèr konmsa ? Fransh vérité sa sé in n’afèr i roprézante bien in fèye vakoa. Zot i trouv pa ?Avèk in (…)
Le Premier président de la Cour des comptes, a menacé mercredi de refuser de certifier les comptes de l’État. « Les réserves formulées par la Cour (…)
Le président de la Cour des comptes et du Haut conseil des finances publiques, Pierre Moscovici, a mit en garde contre des prévisions trop (…)