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Risque de diminution de l’aide internationale
2 mars 2023
Le plan de réponse humanitaire 2023 pour la Somalie sollicite plus de 2,6 milliards de dollars pour répondre aux besoins prioritaires de 7,6 millions de personnes vulnérables.
Malgré une « légère amélioration » par rapport aux projections initiales, la situation humanitaire en Somalie reste extrêmement « grave » et des résultats encore plus effroyables ne sont que temporairement évités, a alerté mardi une agence des Nations Unies, relevant que des fonds supplémentaires sont nécessaires de toute urgence pour maintenir la réponse au-delà de ce mois de mars.
L’aide alimentaire s’est considérablement accrue en 2022, passant d’une moyenne de 2 millions de personnes par mois entre janvier et mars 2022 à une moyenne de 5,4 millions de personnes par mois entre octobre et décembre 2022. Selon le Bureau de coordination des affaires humanitaires de l’ONU (OCHA), cette augmentation a permis d’éviter le spectre de famine dès le début de cette année.
« La famine a été évitée pour le moment, mais les besoins restent élevés et urgents, plus d’un tiers de la population du pays étant confrontée à une insécurité alimentaire aiguë et près de la moitié de la population ayant besoin d’une assistance humanitaire et de protection », a déclaré dans un communiqué, Magatte Guissé, Coordinateur humanitaire par intérim de l’ONU pour la Somalie.
Pourtant malgré l’acheminement continu de l’aide alimentaire humanitaire, les niveaux d’insécurité alimentaire aiguë en Somalie restent élevés. L’ONU estime que 5 millions de personnes connaîtront une situation de crise ou pire (phase 3 ou plus de la classification intégrée des phases) entre janvier et mars 2023.
Au moins 96.000 Somaliens seront confrontées à une faim catastrophique (phase 5 de la classification intégrée des phases), selon les derniers résultats du Cadre intégré de classification de la sécurité alimentaire (IPC) publié le mardi 28 février 2023.
Les niveaux d’insécurité alimentaire aiguë et de malnutrition restent élevés en raison de l’impact de cinq saisons consécutives de faibles précipitations et d’une sixième saison prévue de précipitations inférieures à la moyenne d’avril à juin, exacerbées par le conflit, l’insécurité et les épidémies.
Or sur la base des niveaux de financement actuels, la fourniture de l’aide humanitaire devrait diminuer considérablement entre avril et juin 2023.
Si l’on ajoute à cela l’impact anticipé d’une pluviosité probablement inférieure à la moyenne entre avril et juin, le nombre de personnes confrontées à une insécurité alimentaire aiguë de type « crise » ou plus grave devrait augmenter pour atteindre environ 6,5 millions de personnes dans toute la Somalie entre avril et juin 2023.
Ce chiffre représente le tiers de la population totale — dont 223.000 personnes qui seront probablement confrontées à une famine catastrophique (phase 5 de l’IPC). En outre, les populations agropastorales rurales du district de Burhakaba et les personnes déplacées à Baidoa et à Mogadiscio sont confrontées à « un risque de famine entre avril et juin 2023 si les pluies de la saison « Gu » 2023 ne tombent pas et si l’aide humanitaire n’atteint pas les personnes qui en ont le plus besoin ».
Le plan de réponse humanitaire 2023 pour la Somalie sollicite plus de 2,6 milliards de dollars pour répondre aux besoins prioritaires de 7,6 millions de personnes vulnérables.
« Les niveaux de financement disponibles ne peuvent soutenir le niveau actuel des interventions de réponse humanitaire que jusqu’en mars », a affirmé M. Guissé, exhortant la communauté internationale à se tenir aux côtés du peuple somalien en cette période de sécheresse dévastatrice et sans précédent.
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