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Crise en France
28 mars 2013, par
Selon l’Institut national de la statistique et des études économiques, au quatrième trimestre 2012, le PIB en volume s’est replié de 0,3%, après +0,2% au troisième trimestre. Sur l’année 2012, le PIB stagne, après avoir progressé de 1,7% en 2011.
L’année 2012 aura été une année de stagnation pour la France, selon le dernier bilan de l’INSEE, le Produit intérieur brut (PIB) s’est replié de 0,3% au quatrième trimestre après avoir augmenté de 0,2% au troisième trimestre. Cependant, la surprise vient de l’évolution du pouvoir d’achat des Français, toutes catégories confondues. Celui-ci s’est contracté de 0,8% au quatrième trimestre et de 0,4% sur l’ensemble de 2012.
Cette annonce inquiète, car malgré la progression des salaires et autres sources de revenus, le pouvoir d’achat diminue. La masse salariale a progressé à +0,3% après +0,4% et les prestations sociales restent dynamiques à +0,9% après +1,0%. Selon l’INSEE, la baisse du pouvoir d’achat est « à mettre sur compte des mesures votées pour rehausser le rendement de l’impôt sur le revenu en 2012, ainsi que par la contribution exceptionnelle pour les redevables de l’ISF en toute fin d’année ».
« La forte hausse des impôts (+10% après +6,6% en 2011) est le principal facteur de cette baisse », a noté l’institut, qui ajoute que la progression des « cotisations sociales à la charge des salariés » est imputable à la « hausse du taux de cotisation » ainsi qu’à « la suppression des exonérations sur les heures supplémentaires ».
Cette diminution du pouvoir d’achat s’explique par l’inflation qui a entraîné une hausse des prix de la consommation de 0,3% au quatrième trimestre, après +0,1% au trimestre précédent. Globalement, le pouvoir d’achat du revenu des ménages a reculé en 2012 de 0,8% au quatrième trimestre 2012 après avoir stagné durant l’été. Selon l’INSEE, il s’agit du premier recul du pouvoir d’achat depuis 1984, cependant, les Français n’ont pas réduit leurs dépenses. La consommation des ménages en valeur progresse même légèrement de +0,2%, car ils sont contraints de puiser dans leurs réserves. Le taux d’épargne moyen sur l’année n’atteint plus que 16,0% contre 16,2% en 2011.
Céline Tabou
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