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Marche "contre le racisme et le fascisme"
24 mars
Une marche "contre le racisme et le fascisme" s’est élancée le 22 mars depuis la place de la République à Paris en direction de place de la Nation, réunissant plusieurs milliers de personnes de tous les âges.
"Non au racisme", "Fascisme dehors", "Free Palestine" étaient écrit sur les pancartes et banderoles brandies par les manifestants. Des drapeaux palestiniens étaient visibles dans le cortège.
Associations, syndicats et partis politiques de gauche ont défilé ensemble contre le racisme et le fascisme le 22 mars, dans une centaine de villes de France. Cette mobilisation, intervenue au lendemain de la journée internationale pour l’élimination de la discrimination raciale, est coordonnée par la Marche des solidarités et le collectif "Né·e·s ici ou venu·e·s d’ailleurs, uni·e·s contre le racisme !".
Ce collectif est constitué entre autres par la Ligue des droits de l’Homme, Attac France, La Cimade, la CGT, la FSU, Femmes égalité, le Groupe d’information et de soutien des immigrés (Gisti), le Mouvement contre le racisme et pour l’amitié entre les peuples (Mrap), Oxfam France, SOS Racisme, le Syndicat des avocat·es de France (SAF), l’Union syndicale solidaires.
Le mot d’ordre des organisateurs était "l’heure de la riposte" est arrivée. Les organisations politiques de l’extrême droite sont en position de prendre le pouvoir ou de participer plus activement au gouvernement.
D’ailleurs, l’extrême droite occupe aujourd’hui un place stratégique dans le monde politique après avoir conquis médias et réseaux sociaux et acquérant de nouveaux électeurs.
La mobilisation massive des quartiers populaires, de la jeunesse et du monde du travail aux dernières législatives, a permis d’enrayer la "machine de guerre" du Rassemblement national, mais les idéaux se sont ancrés dans la société et notamment à l’Elysée.
Face à la menace de l’extrême droite et malgré les promesses de "digue contre l’extrême-droite" d’Emmanuel Macron en mai 2022, la réponse du président a nommé un Gouvernement d’une droite perdante dans les urnes, composé de plusieurs personnalités aux positions ouvertement racistes et islamophobes.
Après avoir échappé à la censure, le Gouvernement de François Bayrou a déroulé de nouveau l’agenda de l’extrême droite, utilisant désormais les mots et slogans nauséabonds du FN/RN avec la prétendue "submersion migratoire" et le débat sur "l’identité nationale".
De plus, le ministre de la justice, Gérald Darmanin, annonce la remise en cause du droit du sol et la possible expulsion des étrangers présents dans les prisons. De son côté, le ministre de l’Intérieur a appelé à rétablir le délit de séjour irrégulier et durcit les conditions de régularisation et de droit au séjour. Il veut aussi interdire les mariages avec les étrangers en situation irrégulière ou encore l’interdiction du voile dans la pratique sportive.
A ce contexte politique extrême s’ajoute des témoignages de millions de Français qui subissent au quotidien la vindicte de l’État et de la société blanche, à travers des violences policières impunies, de la discrimination à l’embauche, de la surexploitation des travailleurs immigrés, voire même de l’esclavage moderne, des agressions gratuites et impunies milices d’extrême droite …
Selon les derniers chiffres du ministère de l’Intérieur, les crimes et délits à caractère raciste, xénophobe ou antireligieux ont augmenté de 11% en 2024. A Bordeaux, Marseille, Nantes ou encore Montpellier, la Ligue des droits de l’Homme atteste que "la situation est grave" et a pointé du doigt une "augmentation alarmante des actes racistes".
"Nous constatons qu’il y a encore beaucoup de chemin à faire, c’est pour ça qu’il faut être nombreux", a souligné Dominique Sopo, président de SOS Racisme, le 22 mars sur RMC. "Ce sont des combats longs, mais il faut les mener, car c’est en les menant qu’on les remporte", a-t-il ajouté.
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