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Journée d’action du 9 avril
9 avril 2015, par
Un préavis de grève nationale a été déposé par CGT, FO, FSU et Solidaires pour protester contre la politique d’austérité du gouvernement ce jeudi 9 avril. Cette mobilisation, prévue dès le 17 février, vise à maintenir la pression sur le gouvernement.
Dans un communiqué de presse, daté du 17 février, appelant à la grève ce 9 avril, les organisations syndicales ont affirmé vouloir montrer leur « détermination pour faire aboutir ces revendications et lutter contre l’austérité et ses impacts destructeurs tant socialement, économiquement que démocratiquement ».
Parmi les revendications évoquées, il s’agit de combattre et réduire le chômage, permettre la création d’emplois en changeant de politique économique, préserver les droits et tous les régimes sociaux, garantir et promouvoir le service public, augmenter les salaires (secteurs public et privé), les retraites, les pensions et les minimas sociaux, constituent des priorités sociales, de surcroît en période de crise.
Les syndicats dénoncent le pacte de responsabilité, la rigueur budgétaire, la réforme territoriale, certains dispositifs de la loi dite « libérale » d’Emmanuel Macron, ainsi que plusieurs décisions des pouvoirs publics et du patronat « aggravant la situation des salarié(e)s, des retraité(e)s et des chômeurs(ses) ».
« Ras-le-bol de l’austérité » est devenu le slogan de cette mobilisation, qui s’apparente à un cri d’alarme de l’intersyndicale élargie (CGT, FO, Solidaires, FSU…) pour la cause. Ces derniers défileront sans la CFDT, CFTC, CFE-CGC et l’UNSA, qui se disent « partisans de la négociation plutôt que de la rue ». Pourtant, les quatre syndicats organisateurs ont souhaité par ce biais se faire entendre.
Les conférences sociales instaurées par François Hollande ont atteint leurs limites en raison de l’absence, mainte fois dénoncée, de dialogue social avec les organisations syndicales. Ainsi, avec la volonté du MEDEF de revoir le code du travail et le projet de loi sur le dialogue social, Jean-Claude Mailly, numéro un de FO, a assuré qu’il « y a un mécontentement, il faut être aveugle pour ne pas le voir ».
Pour ce dernier, « il faut combattre l’austérité et ses effets néfastes et se faire entendre par le gouvernement ». Même son de cloche à la CGT, Philippe Martinez a rappelé que les salariés ont « sanctionné la gauche », raison pour laquelle « il faut arrêter l’austérité dont le résultat est le chômage et la montée de la xénophobie ».
Pour l’intersyndicale élargie, cette journée de jeudi sera l’occasion de « se faire entendre », afin de maintenir le rapport de force. D’autant plus qu’à l’instar d’un nombre croissant de représentants politique de gauche, les syndicats veulent un « changement de cap » dans la politique du gouvernement. Les organisateurs ont reçu le soutien de Lutte ouvrière, du NPA, du PCF, du Parti de Gauche et du Front de gauche.
Inquiet de la montée du Front National dans les urnes, Jean-Claude Mailly a affirmé sur le site de Force Ouvrière que « les salariés ne sont pas dupes et leur mécontentement peut prendre diverses formes, certaines d’entre elles étant risquées démocratiquement. » Un risque également sous entendu par le NPA, qui écrit sur son site que le 9 avril sera « le point de convergence de tous les mécontentements pour les salaires et contre le chômage, pour le retrait de la loi Macron et une étape importante dans la construction d’une opposition au gouvernement unifiant les combats contre l’austérité, le chômage et le racisme ».
Le positionnement est différent pour le leader de la CFDT, Laurent Berger. Ce dernier a assuré qu’il « n’y a pas d’austérité en France », mais des « inégalités ». Une remarque qui a fait réagir Jean-Claude Mailly. Le syndicaliste a accusé la CFDT d’être « de facto complice » de la montée du Front national.
La grève devrait perturber les transports en commun, les hôpitaux, les écoles et les services publics.
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Messages
9 avril 2015, 04:35, par techer
bonjour,
cette grève est a l’initiative de FO, elle a été décidé lors du congrès confédéral en début février, une grande page de l’histoire a tourné, puise que pour la première fois depuis la création de FO, la les dirigeants de la CGT est venus dans les bureau de la confédération FO, cette grève lancé par FO est une nécessité.