
La Plateforme réunionnaise transmet au chef de l’Etat un nouveau manifeste
23 avrilAu cours d’un entretien dans la soirée du 22 avrils entre le Président de la République, Emmanuel Macron et la maire de Saint-Denis, Éricka (…)
Initiative de la CGTR en direction des élus de La Réunion et du préfet
21 décembre 2018
La CGTR a lancé hier une pétition adressée au préfet, aux élus et maire de La Réunion, et au président du Conseil régional. Voici le texte :
Nout zansèt la soubat pou nout liberté, ni doi rend azot lomaz, alon batay pou un 20 desanm CHÔMÉ èk PAYÉ !
Nos ancêtres se sont battus au péril de leur vie pour arracher notre liberté. Mais aujourd’hui, nous assistons à un retour de l’esclavage dit "moderne" par l’exploitation des travailleurs et des travailleuses. Les patrons utilisent le chantage au chômage comme arme fatale. Plus de 180 000 personnes sont sans emplois à La Réunion ! Il est donc facile pour les patrons de nous exploiter sans que nous n’osions nous rebeller... Soman, lesclavaz la fini !! Kréol sort dann fénoir, nout zansèt la soubat kont lesclavaz, anou i fo ni lève kont lesclavaz moderne !
Les salarié-e-s sont sous pression au quotidien et sont traités comme des kleenex : mal payés, exploités, menacés, avec des contrats précaires, notamment les jeunes. Nos conditions de travail se dégradent, nos salaires n’augmentent pas, mais les profits des grandes multinationales explosent !
Ces grands groupes nous exploitent dans une forme d’esclavage moderne et menacent les petites entreprises réunionnaises, pourtant les premières créatrices d’emplois. Ni di arèt èk sa !
Cette pression et ce chantage s’illustre d’autant plus dans le commerce au mois de décembre : les magasins sont ouverts les dimanches, et ce jour symbolique de la fête de l’abolition de l’esclavage. D’après la loi, le travail n’est pas obligatoire ces jours-là. Pourtant, des centaines de salariés sont forcés de travailler, sous la menace. Notamment dans les grands supermarchés. Sa lé pa normal ! 20 décembre lé férié : na point personne i doit travailler !
Pou rend nout zansèt lomaz, ni domand :
• 20 décembre chômé et payé pour toutes et tous !
Ce combat nous devons le mener pour ne pas oublier le prix de la liberté et notre histoire. C’est notre devoir.
Signez la pétition !
Au cours d’un entretien dans la soirée du 22 avrils entre le Président de la République, Emmanuel Macron et la maire de Saint-Denis, Éricka (…)
Le Haut Conseil de la famille, de l’enfance et de l’âge est revenu dans une note sur la période inflationniste 2021-2025 et ses effets sur le (…)
Promié tan, la kaz bann Biganbé navé dé piès minm parèy sad bann Maksimin, soman té kouvèr an tol. Malérèzman, siklone 48 la ni, la lèv lo ti (…)
En visite à La Réunion, le président de la République a échangé avec le monde agricole, durement affecté par le cyclone Garance qui a suivi un (…)
Mézami l’ariv amwin dann mon éskolarité kotoiye bann marmaye néna bone tète. Mi rapèl inn téi konpran toute pli vite lé z’ote, téi rotien toute (…)
Selon le ministre de la Santé, Yannick Neuder, "autour de 120.000" personnes pourraient avoir été contaminées par le chikungunya, maladie (…)
« Ça fait plus de quinze ans que la fonction publique est au pain sec et à l’eau » a estimé le président de la fédération services publics de la (…)
Mézami dopi somenn passé i anparl bonpé bann péshèr artizanal pars lo ministress responsab de sa lété d’passaz shé nou é bien antandi téi i pé pa (…)
« Depuis le début de l’année, six décès [...]chez des personnes de plus 70 ans porteuses de comorbidités ont été classés comme liés au chikungunya (…)
Kossa i lé sa d’apré zot ? Oussa i trouv in n’afèr konmsa ? Fransh vérité sa sé in n’afèr i roprézante bien in fèye vakoa. Zot i trouv pa ?Avèk in (…)
Le Premier président de la Cour des comptes, a menacé mercredi de refuser de certifier les comptes de l’État. « Les réserves formulées par la Cour (…)
Le président de la Cour des comptes et du Haut conseil des finances publiques, Pierre Moscovici, a mit en garde contre des prévisions trop (…)