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19 mars, par
Dans ce texte, le gouvernement va proposer « un plan de bataille complet et structurel qui s’attaque méthodiquement à tous les facteurs expliquant la cherté de la vie », a déclaré le ministre des Outre-mer, en visite en Martinique dans la soirée du 17 mars.
Le ministre des Outre-mer, Manuel Valls, a annoncé dans la soirée du 17 mars en Martinique un projet de loi contre la vie chère dans les territoires ultramarins « avant l’été », à l’occasion d’un déplacement dans l’île des Antilles bouleversée fin 2024 par une mobilisation contre les prix de l’alimentation.
Dans ce texte, l’exécutif proposera « un plan de bataille complet et structurel qui s’attaque méthodiquement à tous les facteurs expliquant la cherté de la vie », a déclaré Manuel Valls à l’issue d’une réunion avec plusieurs dizaines d’élus et de représentants du monde économique à la préfecture de la Martinique.
Arrivé quelques heures auparavant en Martinique pour une visite de 48 heures, il a conclu une tournée de six jours dans les quatre collectivités françaises des Antilles.
Le projet de loi contre la vie chère devrait « reprendre certains articles » de propositions de loi présentées ces derniers mois par plusieurs parlementaires originaires des régions ultramarines, a précisé le ministre, exhortant à « enclencher une véritable transformation économique des territoires » ultramarins.
Le ministre a également évoqué cinq priorités contenues dans ce projet de loi en cours de préparation, notamment le renforcement de la concurrence et la lutte contre « les pratiques anticoncurrentielles ».
De « grands groupes très performants » présents dans ces territoires « jouent parfois un rôle d’étouffement de l’économie », a réaffirmé le ministre, reprenant des propos qu’il avait prononcés à l’Assemblée nationale le 22 janvier. Ces groupes de distribution « sont présents à tous les niveaux de la chaîne » d’approvisionnement, a-t-il souligné.
Le texte a un objectif de transparence dans la vie économique des Outre-mer, avec des sanctions « plus dissuasives » pour les nombreuses entreprises locales qui « ne se conforment pas » à leurs obligations, a ajouté le ministre.
Il a aussi appelé à « rompre avec la dépendance aux importations », à « favoriser la production locale », et à mieux intégrer les territoires ultramarins avec « leur marché régional », afin de limiter les importations en provenance de la France hexagonale et de l’Europe « à ce qui est strictement indispensable ».
Enfin, le ministre des Outre-mer a annoncé « un soutien de 10 millions d’euros » pour les « acteurs économiques et commerçants » sinistrés durant les violences urbaines survenues à l’automne 2024, en marge d’une vaste mobilisation contre la cherté de la vie.
Manuel Valls a aussi rencontré des représentants du Rassemblement pour la protection des peuples et des ressources afro-caribéens (RPPRAC), le mouvement à l’origine de la mobilisation émaillée d’émeutes à l’automne 2024 sur l’île.
Selon un participant, l’AFP a indiqué que lors de cette rencontre des représentants syndicaux, six maires, trois députés et le suppléant du leader du RPPRAC, Rodrigue Petitot, porteur d’un bracelet électronique suite à sa condamnation en décembre pour « actes d’intimidation et menaces envers des élus »
« J’ai rencontré des élus, des syndicats et cette organisation. Je souhaite discuter et rencontrer tout le monde avec des principes clairs (...), la condamnation la plus claire des violences à l’égard des biens et des personnes », a expliqué le ministre sur la radio locale RCI.
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