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Tribune libre
23 septembre 2011
Robert Bourgi, intermédiaire presque ’héréditaire’ entre la France et l’Afrique, a reconnu, le 11 septembre, avoir transporté des mallettes pleines de billets pour différents dirigeants français, notamment Chirac et De Villepin. Il n’a évidemment pas dû faire cela pour la ’beauté’ (ou plutôt l’abomination) du geste, mais se servir allégrement dans cet argent africain, qui semblait arriver beaucoup de manière plus fluide en France que l’aide humanitaire française n’arrivait en Afrique.
Croire « l’avocat qui n’a jamais plaidé » (Bourgi) lorsqu’il nous dit que « Je me suis décidé à parler parce que ma conscience me taraudait et je me disais qu’il était temps de mettre fin à ces pratiques inacceptables et mettre fin aussi au côté obscur de la Françafrique », c’est croire aux licornes et autres bisounours. Alors pourquoi parle-t-il maintenant ?
En tout premier lieu, on pourrait y voir une manœuvre du clan Sarkozy. En effet, à peine élu, le président de la République lui a remis la Légion d’honneur, en l’engageant à « participer à la politique étrangère de la France avec efficacité et discrétion ». Mais Sarkozy s’est si souvent brulé les ailes dernièrement par ses manœuvres nauséabondes que le récit de Bourgi, expliquant que, soudainement, avec Sarkozy, la valse des valises s’est arrêtée, semble peu crédible et laisse apercevoir une autre voie...
Effectivement, il semble qu’il ne soit plus aussi proche de la Sarkozie qu’à l’époque de la remise de sa Légion d’honneur. Cela, pour plusieurs raisons. En 2009, alors que l’Élysée assure que Paris n’a aucune préférence pour la succession d’Omar Bongo alors président du Gabon, il déclare au “Monde” : « Le candidat de Robert Bourgi, c’est Ali Bongo. Or, je suis un ami très écouté de Nicolas Sarkozy. De façon subliminale, l’électeur le comprendra », ce qui constitua une erreur diplomatique de taille.
Puis, le départ de l’Élysée de son ami et contact Claude Guéant l’a un peu plus éloigné du « roi soleil » de notre époque.
Ensuite, du côté africain, il semblerait qu’Alassane Ouatarra, vainqueur de la guerre civile ivoirienne, l’ai « blacklisté » à cause de son soutien trop visible à Laurent Gbagbo, son adversaire.
Enfin, dernier indice de sa mise à l’écart de la cour du Monarque, Alain Juppé, actuel ministre des Affaires étrangères, aurait fait de cette mise à l’écart l’une des conditions de son retour au Quai d’Orsay.
Ainsi, il semblerait que Robert Bourgi soit donc tombé en disgrâce et tente le tout pour le tout, par cette déclaration, de faire comprendre à ceux qui tirent les ficelles qu’il a des révélations sur tout le monde, et pas uniquement aux seuls Chirac, Villepin et Le Pen cités par lui.
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