
La Plateforme réunionnaise transmet au chef de l’Etat un nouveau manifeste
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21 octobre 2011
Nous nous joignons à la tristesse de la famille, des amis de l’homme qui a perdu la vie mercredi, et aussi à la tristesse du peuple de Mayotte.
Les drames entraînent malheureusement souvent des propos que l’on ne tolèrerait pas d’habitude. Ce fut par exemple le cas lors de l’affaire DSK où l’on a vu surgir de multitudes propos sexistes… Toute proportion gardée, c’est un peu la même configuration après le décès d’un manifestant à Mayotte. On peut lire certains commentaires sur la toile où des personnes estiment que « la police a fait son travail ». Parce que le travail de la police serait de tuer le peuple qui s’exprime ? Gardons-nous de ces propos qui dépassent toute lucidité d’esprit.
Un homme est mort dans une manifestation sur le territoire français ; la France, pays dit des Droits de l’Homme. Cela se serait passé à Paris, à Marseille, on aurait très vite dépêché un ministre sur place, avec des solutions à la crise. Mais ce n’est que Mayotte, une République au rabais.
Donc, à défaut de ministre et de solutions, on envoie des « appels au calme » depuis Paris. Pour résumer, alors que des Français se mobilisent depuis des semaines pour une cause légitime, on leur répond par la répression entraînant plusieurs blessés graves ainsi qu’un mort, et face à cette situation, l’État pense pouvoir calmer les choses avec un « appel au calme » qui n’est autre qu’une manière polie de leur dire de “fermer leur gueule”.
Sauf que le calme dépend de ceux-là mêmes qui lancent ces appels. Jusqu’à preuve du contraire, aucun gendarme n’a perdu partiellement la vue ou n’est mort. La balle est donc dans le camp de l’État, le calme relève de sa responsabilité.
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