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Présidentielle
9 décembre 2011
Après l’annulation des déplacements de la candidate du Front national dans une école de commerce de Toulouse et dans une université de Lille, c’est un débat organisé par une association étudiante se disant « non partisane » qui a dû être annulé à l’Université de Paris-Dauphine suite à un rassemblement organisé par l’UNEF, l’UEJF, le MJS, les jeunes communistes et les jeunes du NPA.
« L’université ne participera pas à la banalisation du Front national ! »…
Ce mardi 6 décembre, Marine Le Pen était invitée à débattre de son programme économique par l’association Dauphine-Discussion-Débat. Cette invitation fait échos, selon l’UNEF, à « plusieurs mois de tentative de banalisation du Front national ».
Dans un communiqué, l’organisation étudiante estime que la « mise en avant de la République et la laïcité ne peut masquer le fait que le parti de Marine Le Pen est un parti xénophobe qui stigmatise une partie de la population en désignant un ennemi de l’intérieur et en voulant introduire la "préférence nationale" comme élément central de son action politique ».
Jonathan Hayoun, Président de l’UEJF, « déplore la place d’honneur faite à Marine Le Pen dans une université française ». Il estime que Marine Le Pen « ne s’est pas affranchie de l’idéologie de son parti, ni de son père qu’elle a nommé président d’honneur du Front national ».
Au-delà d’interdire les lieux à une candidate d’un parti extrémiste, les différentes organisations souhaitaient souligner la nécessité de ne pas banaliser la politique orchestrée par le Front national et estiment que les idées de l’extrême droite se situent « à la marge du débat démocratique » et n’ont ainsi pas leur place au sein des universités.
VS. « La dissolution de l’UNEF »
La présidente du Front national a dénoncé mardi soir les « milices de gauche » qui l’ont empêchée un peu plus tôt d’entrer à l’Université Paris-Dauphine pour un débat, exigeant une condamnation de toute la classe politique et la dissolution de l’UNEF, première organisation étudiante et à l’origine de la contestation.
« Est-ce que le pouvoir va laisser ces milices de gauche faire la loi dans notre pays ? Est-ce que le pouvoir va laisser ces milices de gauche brutaliser des étudiants, empêcher une candidate à la Présidentielle de venir s’exprimer dans le cadre d’un débat républicain et démocratique ? », a-t-elle demandé, visiblement furieuse, lors d’un point presse qu’elle a tenu dans les locaux du Front national à Paris.
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