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Égypte :
25 novembre 2011
La place Tahrir s’est une nouvelle fois remplie cette semaine, les Égyptiens se mobilisent contre le pouvoir militaire du Maréchal Hussein Tantaoui qui ne semble pas vouloir enclencher la transition démocratique avant le 28 novembre.
Entre instabilité politique...
Après la chute d’Hosni Moubarak en février dernier, un gouvernement de transition fut chargé d’expédier les affaires courantes du pays et parmi elles, l’organisation d’élections législatives et présidentielles en réponse à la contestation populaire qui a provoqué la chute du régime.
Lors de la nomination de ce gouvernement transitoire, les Égyptiens avaient clairement affiché leur volonté d’accélérer le processus de transition démocratique visant à transmettre le pouvoir au civil. La junte militaire au pouvoir semblait voir les choses sous un autre angle jusque ce que la mobilisation des Égyptiens n’en vienne à faire démissionner le gouvernement transitoire lundi. Le pays est plongé dans une période d’instabilité politique sans pareil où l’armée et les politiques ne satisfont plus un peuple qui est déterminé à se battre pour vaincre.
Et répression militaire...
De violents affrontements opposaient cette semaine la police à des milliers de manifestants réclamant le départ des militaires au pouvoir, malgré la promesse du chef de l’armée d’organiser une présidentielle à la mi-2012 pour un retour au pouvoir civil. Les différentes journées de mobilisations furent marquées par une trentaine de décès et plusieurs milliers de blessés.
Le conseil supérieur des forces armées égyptiennes a effectivement décidé de répondre à la colère des manifestants par l’utilisation de gaz lacrymogènes. Alors que les frères musulmans s’insurgeaient mardi contre "les pratiques du ministère de l’Intérieur digne de l’ancien régime", plusieurs médecins affirmaient quand à eux que la police anti émeute a tiré à coups de balles réelles sur la foule à l’occasion du rassemblement mardi en plein centre du Caire.
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